mardi 29 décembre 2015

Trello en mode Adobe Voice

Je me suis essayé à faire la présentation de l'application Trello avec l'application Adobe Voice.

Trello peut être un simple gestionnaire de tâches ou bien plus.

Quant à Adobe Voice, il est utilisable par tous, sur le principe d'une image commentée, le tout étant compilé en vidéo par l'application à la fin.

 

 

dimanche 29 novembre 2015

Book Creator MAJ

Il s'agit d'une des applications les plus utilisées parmi celles que j'ai croisées et dont les productions sont possibles dès la maternelle vers l'élémentaire et au-delà !

À quoi sert-elle ?

Elle permet de mettre en page facilement un livre. Dans ce livre vous pouvez mettre du texte, forcément, mais également des images. On ne s'arrête pas là et on rajoutera des sons et des vidéos.

Je trouve les options pour la mise en page un peu basiques mais en contrepartie le programme est facile à prendre en main (même par les élèves !)

Mise à jour

Dernièrement l'application a vu une mise à jour qui a rajouté tout un panel de fonctions.

Voilà la vue que l'on avait dès que l'on désirait créer un nouveau livre. Mais désormais si l'on regarde un peu plus bas.

On retrouve les mêmes options mais en version BD. Voyons ce que ça donne.

On choisit donc le format de livre que l'on veut et on tombe sur une page blanche. Un appui sur le petit "+" du coin et on a le choix des éléments que l'on veut rajouter.

Ici, le choix des cases sur la page.

Chaque case peut accueillir une image. Elle peut être modifiée à volonté une fois qu'elle est déverrouillée (en passant par le menu "i").

Vous pouvez rajouter d'autres éléments (depuis la seconde partie du menu "+")

Comme ces autocollants :

On peut également changer tout l'arrière-plan de la page.

Conclusion

Voilà une mise à jour qui permet de redécouvrir cette application. A la fin vous pouvez obtenir un PDF (mais au revoir le côté multimédia), un ePub (très bien lu par iBooks) ou une vidéo où tous les sons et les vidéos sont joués automatiquement. La prise en main des images dans les cases de la BD n'est pas toujours très facile mais on retrouve la volonté de faciliter l'utilisation.

Les élèves pourront après quelques explications prendre entièrement la réalisation d'un cahier de sons ou d'un cahier de poésies multimédias.

Attention ! Au moment où j'écris ces lignes cette mise à jour n'est disponible que sur IOS.

 

mardi 14 avril 2015

J'annote, tu annotes, nous annotons.

En fidèle utilisateur d'Evernote je suis habitué à pouvoir annoter une image directement dans le programme. Ces fonctions qui permettent de pouvoir rajouter à une image du texte, des lignes, flèches etc. nous viennent directement de l'intégration d'une application qui fonctionne en dehors de l'éléphant et qui se nomme Skitch.

Skitch


Skitch est une application simple qui fait bien ce pourquoi elle a été conçue : ajouter des éléments à une image.

Petit exemple d'utilisation

D

La prise en main est très simple et possible par les enfants eux-mêmes. Les petits autocollants (cœur, point d'interrogation mais d'autres existent) peuvent rendre bien des services.

Si ça ne vous ne suffit pas voilà une deuxième, existant en application web : Thinglink

Thinglink


Ce programme vous ouvre les portes de l'annotation multimédia.

Vous allez, cette fois, placer sur votre image des points.

Chacun de ces points représente une annotation qui peut être :

- du texte

- un lien

- une image

- une vidéo

A la fin de votre travail le résultat est accessible sous forme d'un lien.

Vous pouvez voir ce que ça donne ICI.

 

mardi 7 avril 2015

Des questions + des réponses = des formulaires

 

Voici plusieurs mois, j'ai découvert via l'excellent site Tilekol, une utilisation intéressante des formulaires Google. Depuis j'ai un peu plus creusé la question.

 

 

Des formulaires Google

 

Il s'agit d'une des offres de service Google qui accompagne le service Drive. Les autres applications étant un traitement de texte et un tableur. La création d'un formulaire n'est pas très compliquée, elle demande de savoir quelle type de réponse vous intéressera : texte court ou long, Q.C.M, choix dans une liste, il y a des chances pour que vous trouviez ce qui vous intéresse. Les réponses apparaîtront dans l'espace où vous avez créé votre formulaire sous forme d'une feuille de tableur.

 

Pourquoi faire ?

 

Récolter les résultats, c'était la proposition faite par le collègue sur Tilekol. Je continue à l'utiliser car ça permet de conserver des évaluations faites sur le vif.

 

La principale utilisation dans ma classe est devenue la réponse aux questions de lecture. Je m'explique. De temps en temps, comme bien d'autres, j'organise des rallye-lecture. Si j'aime bien le principe, un détail me dérange, c'est la profusion de photocopies que cela implique.

 

Objectif zéro papier

 

Les élèves lisent leur livre et vont chercher le questionnaire. Mécanisme de base.

Toutefois dans ma classe, les élèves se connectent sur leur classeur (un carnet Evernote) dans la partie Français ils vont trouver dans une note la série de liens vers les questionnaires.

Pour le dernier en date j'ai séparé chaque série de questions en deux parties pour que la saisie ne soit pas trop longue.

Si vous réalisez le questionnaire en amont vous obtiendrez au début de chaque tableau de résultats, la correction pour les réponses postées ensuite.

Il est indispensable que la première question demande le prénom de l'élève, rendez-la obligatoire (c'est une case à cocher) et plus de soucis pour savoir qui a répondu quoi.

Les modèles de mise en page ne sont pas nombreux mais suffisent.

 

Par exemple une fiche ressemble à ça :

 

Et on obtient comme résultat :

 

 

Avantages :

 

- aucune photocopie

- une synthèse automatique des résultats sous forme d'un tableau prêt à être exploité

- une correction plus rapide

 

Inconvénients :

 

- la nécessité d'une connexion

- l'obligation de transposer les questionnaires. Même si l'habitude en diminue le temps nécessaire, il faut le prendre en compte.

- bon, il faut être inscrit sur Drive mais si vous avez une adresse Gmail c'est le cas (avec vos 15 Gigas, voir l'article précédent).

 

Pour l'instant, rien d'autre, mais avec l'évolution des outils proposés par Google il y a des chances que ce ne soit que le début.

 

 

samedi 4 avril 2015

En voie d'extinction ?

Il y a quelques temps j'ai pu lire que la clé USB ne tarderait plus à disparaître avec la multiplication des données dans le nuage.

 

 

Sans que ceci n'ait lieu demain, je me suis aperçu que j'utilisais moins qu'aux premier temps ce fier remplaçant de la disquette.

Pourquoi ?

Je me suis envolé dans les nuages...


Un nuage ?


Il s'agit d'enregistrer vos données non pas sur votre ordinateur mais sur un ordinateur distant auquel vous pouvez accéder en utilisant le net. De nombreux services existent, la plupart possèdent une offre gratuite. Le principe étant que si vous avez besoin de plus de place, vous pouvez en avoir moyennant finances.

L'avantage est que vous pouvez y accéder depuis plusieurs machines (ordi, tablette et smartphone).

L'inconvénient est que si vos données vous apparaissent comme sensibles, cette solution est à éviter à moins de les crypter et encore...


Dropbox, le plus commun


Il est le premier nuage que j'ai utilisé. Avec l'adoption d'un smartphone il était indispensable. Actuellement l'offre de base, gratuite, semble assez limitée (2 gigas) par rapport aux concurrents.


Drive

 

Un des nombreux services de la pieuvre Google. Quand je me suis aperçu qu'avec mon compte Gmail je possédais une réserve de 15 Gigas gratuits j'ai transféré l'ensemble de mon dossier boulot dessus.

De plus avec le logiciel installé sur mon ordinateur la synchronisation est automatique, rien à faire. Les jours où j'oublie ma clé, je me connecte et je récupère mes documents sans souci. J'ai ainsi une copie sur mon ordinateur personnel de mes fichiers, une copie sur les serveurs de Google et les deux se synchronisent sans que j'y pense.

Mais c'est formidable !


Oui et non, cela dépend énormément de petits détails : la connexion internet disponible sur votre lieu de travail ET si ces solutions ne sont pas bloquées par le pare-feu installé sur les machines que vous utilisez.

Personnellement ma clé USB va rester accrochée à mon trousseau du boulot. Elle reste encore très pratique pour l'impression quand il faut gérer certains détails.

Voici toutefois plusieurs semaines où je n'utilise plus ma clé. La connexion de notre école est finalement stable. Je prépare mes documents pour pouvoir les imprimer directement.

Je vais quand même la laisser accrochée, on ne sais jamais...

 

 

 

 

mercredi 25 mars 2015

La clé simplifiée

Il fut une époque où je devais me remémorer après ma séance de travail l'ensemble des fichiers que j'avais créés / modifiés voir supprimés pour reproduire à l'identique le contenu de mon dossier travail ordi sur son jumeau clé USB.


C'était une galère périlleuse.


Et puis j'ai découvert la synchronisation !

 

Pour les béotiens, la synchronisation consiste à demander à l'ordinateur de faire ce que je faisais très mal : choisir 2 dossiers et faire en sorte que chaque fichier modifié dans un dossier le soit dans son dossier jumeau.

 

À cette fin j'utilise un logiciel gratuit nommé Synctoy de chez Microsoft (LIEN).

Plusieurs options sont proposées quand 2 dossiers sont appariés, même si je n'en utilise plus qu'une, la synchronisation.

J'ai donc associé mon dossier de travail de l'ordinateur avec un dossier sur ma clé (il s'agit de tout mon dossier de travail de l'année). Quand ma séance de travail est terminée je lance le logiciel et je me retrouve avec un dossier sur ma clé identique à celui de l'ordinateur. Le procédé est rapide : mon dossier travail pèse dans les 4/5 gigas et l'ensemble du processus ne prend pas plus de 5 minutes.

De plus si vous travaillez à l'école sur certains fichiers ou que vous trouvez/fabriquez certaines ressources vous retrouverez tout cela sur votre ordinateur une fois la synchronisation faite.

 

Au delà de l'aspect nomade vous pouvez également vous en servir pour effectuer vos sauvegardes (car vous en faites n'est-ce pas ?!) puisque vous pouvez sans problème créer plusieurs profils de synchronisation avec des dossiers différents.

 

 

mercredi 18 mars 2015

La séance, avec ou sans numérique ?

J'arrive ce matin avec en tête l'idée de préparer les enfants à une écriture collaborative.

J'ai un outil en tête : Padlet. (voir plus loin)

Un mur numérique sur lequel les élèves vont pouvoir placer les mots-étiquettes qu'ils voudront.

Comme thème je prends le hockey, que les enfants pratiquent en moment.

Tout va bien sauf que ce matin il n'y a pas de réseau. Problème...

Alors j'ai pratiqué le numérique comme quand il n'y en avait pas.

  • Bandelettes de papier
  • 1 couleur de feutre par élève (j'en ai 8 en cycle 3)
  • Du scotch
Et c'était super, les élèves ont vraiment bien su évoluer dans le nuage des mots possibles.

 

Alors à quoi sert le numérique si du papier et du scotch le remplace ?

 

En premier la séance s'est bien passée mais mon stock de bandelettes s'est vite épuisé.

C'est tant mieux car je n'ai pas su garder la cadence pour pouvoir les coller au tableau. Car bien sûr je les ai collées en les regroupant pour la suite.

Non les enfants ne pouvaient pas les coller parce que mon tableau est trop haut

Ensuite dans la suite de la séquence je voulais qu'ils complètent ensuite chaque mot par un commentaire. Bon je sais, si la toile ne revient pas chez moi, je sortirai mes PostIt...

 

De plus, un détail technique qui m'importe : j'ai besoin de ce tableau donc il va me falloir enlever les étiquettes, les stocker et les ressortir.

 

Enfin les élèves ne pourront pas manipuler tout ça sans que ça devienne (trop) compliqué pour moi.

 

Le lendemain ça ressemble à ça :

 

 

 

 

On en revient à ce qu'est le numérique dans nos classe : un simple outil mais un outil qui facilite la mise en œuvre pour que l'activité de recherche soit au premier plan.

 

Un oeil sur Padlet

 

 

 

 

Padlet est un "mur" numérique sur lequel vous pourrez placer des étiquettes et des images.

Il faut s'inscrire pour utiliser ce service qui est gratuit.

 

Le gros plus de cet outil c'est qu'il s'agit d'un outil collaboratif. Je m'explique : vos élèves vont pouvoir placer des étiquettes sur le mur depuis leur terminal (ordinateur ou tablette), les bouger, les commenter. Le mur qu'ils utilisent est le même pour tout le monde.

Ensuite pour les bouger, les organiser, c'est simple.

La sauvegarde est automatique et vous pourrez exporter le résultat sous forme d'une image ou d'un pdf.

 

Je l'ai utilisé précédemment dans un travail collective sur la Préhistoire où chaque groupe devait réaliser une recherche sur un point particulier, les différentes réponses donnaient la leçon finale.

 

Pour information j'ai pu reproduire la séance "hockey" avec une connexion qui fonctionnait. Tout le groupe a pu fonctionner en quasi-autonomie tout en évitant les doublons et en essayant de les regrouper.

Nous avons donc pu aller plus loin, plus rapidement et plus efficacement. De plus quand nous reprendrons nous retrouverons le travail dans l'état dans lequel nous l'avons laissé, prêt à être complété avec de nouveaux mot mais aussi du texte associé à chaque mot ou des images.

 

 

 

mardi 10 mars 2015

Un ENT "maison" : Evernote

J'entendais souvent parler mes amis du secondaire de leur ENT (espace numérique de travail) et de façon peu élogieuse. De ce que j'en avais compris c'était un espace en ligne, sécurisé par identifiant où leurs élèves pouvaient récupérer des ressources dont leurs devoirs.

Rien de passionnant à mon sens.

Un jour je suis arrivé sur le site de François Lamoureux où il expliquait son utilisation originale d'un service en ligne nommé Evernote (l'article est en lien ici).

 

Si je connaissais le service de l'éléphant vert à titre personnel sur mon smartphone, ma tablette et mon ordinateur je n'avais jamais eu l'idée de l'utiliser en tant qu'ENT. La mise en place n'est pas compliquée mais ses intérêts sont multiples.

Je l'ai mis en place cette année dans ma classe et mon expérience est plus que positive. Je dispose d'un parc de 5 portables sur lesquels mes élèves ont pu taper simplement taper leurs premiers textes de l'année. L'avantage sur les années passées est d'oublier le fastidieux travail de repérer l'ordinateur sur lequel l'élève était à la séance précédente voir de récupérer sur une clé l'ensemble des travaux pour les redistribuer ensuite.

J'ai créé un compte spécialement pour ma classe, histoire d'être tranquille. Chaque élève a son carnet et ils sont rangés par niveaux de classe.

Dans chacun de leur carnet personnel, les élèves ont pu commencer à écrire le texte de leur futur exposé et il le reprennent quand ils le peuvent.

Un formulaire pour répondre à une série de questions sur le livre qu'ils sont en train de lire, le lien est dans leur classeur en ligne (un simple carnet dédié à cet usage).

Un pdf à lire, il est déposé en un glisser de souris depuis le dossier de l'ordi.

Là aussi la réflexion de François Lamoureux sur la facilité à créer ainsi des pages qui regroupent des documents de natures variées donne envie d'essayer (lien).

En plus le service est gratuit, à moins de transférer pour plus de 60 mégas par mois (ce qui est confortable).

Pour terminer ce service est superbe sur une tablette où les élèves peuvent s'enregistrer, joindre la photo de ce qui devant eux, etc.

 

dimanche 1 mars 2015

Programmer avec des blocs : Scratch

Enfant, mes premiers programmes ne fonctionnaient pas. Ici il manquait un espace, là une coquille rendait l'instruction illisible.

Dans ma réflexion d'une initiation au code à l'école je m'était dit que ce n'était pas plus mal, une certaine idée de l'exigence.

Certes mais c'était une initiation, l'essentiel de l'idée était que les enfants comprennent le fonctionnement et non qu'ils apprennent à écrire de nouveaux mots.

Le débat à une voix qui fut le mien fut tranché par la rencontre avec Scratch.

Scratch est un logiciel développé par le MIT et qui a une approche pensée pour les élèves du primaire.

Dans ce programme, qui est un environnement complet avec plusieurs espaces, les instructions existent bel et bien mais elles sont incluses dans une brique qui se connecte avec d'autres pour former un programme entier.

Les instructions peuvent être en français et le programme est gratuit (mais pas d'une stabilité à toute épreuve, mes élèves ont appris à sauvegarder).

Le résultat de vos programmes est affiché dans une fenêtre du logiciel et chaque programme est rattaché à un "personnage" appelé un lutin. Vous pouvez également programmer l'arrière-plan. Les premières utilisations permettent d'animer ces fameux lutins mais Scratch est utilisé par certains jusqu'au lycée.

À noter que Scratch existe sur tablette IPad également :

- dans une version pour les plus jeunes avec des instructions sous forme de dessins.

- dans une version "officieuse" nommée Pyonkee (avec une ergonomie un peu fastidieuse)

Vous pouvez retrouver un mini-fichier que j'ai proposé à mes élèves après plusieurs séances de prise en main. Vous pouvez utiliser une face comme une situation-problème et l'autre comme une solution possible (ils en trouveront d'autres, auxquelles vous n'aviez absolument pas pensé).

Programmez bien !

 

 

 

Du code informatique

Ceux de ma génération se souviennent avec nostalgie, ou ennui, de ces séances lointaines où nous devions déplacer un triangle sur un écran à l'aide de quelques mots.

Le triangle se nommait une tortue.

Les mots étaient du Logo.

Nous sommes arrivés dans le futur (si si ! Vérifiez les dates dans "Retour vers le futur".)

Le soir où je me suis dit qu'apprendre la programmation pouvait être utile aux élèves d'aujourd'hui je ne me voyais pas ressortir la tortue.

 

Une séance de recherche me présente Scratch et sa programmation graphique par bloc.

Bon le support de travail était trouvé.

 

Pour l'exploiter et avant de m'engager dans la création de séances dédiées, 2ème séance de recherche.

 

Si vous désirez passer de longs moments à expliquer le code, la programmation par bloc, etc. Vous pouvez vous arrêter ici.

Le site américain code.org (en français) permet d'initier les élèves à cette programmation en douceur, du plus simple au plus compliqué, sous forme de petits jeux et avec des personnages de jeu connus.

Le site est très riche et ce lien vous dirigera directement vers le sommaire des activités de base. Rien ne vous interdit de découvrir l'ensemble des ressources proposées.

Vous pouvez vous inscrire et inscrire vos élèves mais il vous est aussi possible de simplement utiliser, comme je l'ai fait, cette série d'exercices comme une introduction au logiciel Scratch. Certains exercices sont précédés d'une vidéo de présentation avec une célébrité qui nous explique au combien le code est important (je saute systématiquement ces petites choses).

Le nombre d'exercices est conséquent et peut permettre de gérer sans problèmes des groupes qui n'ont pas la même facilité avec la logique de programmation.

 

Une remarque : si la programmation est quelque chose de flou mais qui vous intéresse, allez jeter un œil à ces exercices et en tous les cas effectuez les avant de les proposer.

 

Si arrivé ici, vous vous demandez encore l'utilité de cet apprentissage, ma réflexion de départ était de montrer aux élèves ce qu'il y avait derrière les programmes, les applications qu'ils utilisent ou utiliseront.

 

En plus ça leur plait beaucoup !